J’ignore s’il existe un syndrome répertorié, type syndrome de Stendhal ou syndrome de Paris, pour décrire l’effet des paysages nord-américains sur les âmes téméraires qui les traversent. On pourrait l’appeler Syndrome de Charley (cf post précédent), même si le caniche bleu éponyme qui accompagne Steinbeck dans son périple à travers les Etats-Unis ignore dignement les […]

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